Scène

Intérieurs
François Chat

SEtaccio au Théâtre du Châtelet

« Deux chorégraphes qui aiment encore le mystère et la retenue - Carolyn Carlson et François Chat à Paris : Au travers de ces ustensiles, que rien ne prédisposait à un destin théâtral et qui pourtant magnétisent le public en quelques secondes, François Chat accomplit une prouesse : celle d’être lui-même sans subterfuge. »
Le Monde, Rosita Boiseau

« Loin des préoccupations circassiennes, François Chat n’en joue pas, ils les laissent jouer, faisant confiance à leur capacité à habiter l’espace. »
Arts de la Piste, Odile Cougoule

Les dernièrtes du Chat

« Jeu gracieux avec les objets, pas de deux répétitifs traques d’Edouard Lock et de Trisha Brown, solos léchés sous des lumières au cordeau : la technique est exemplaire. »
Libération, Éric Dahan

Rotation, Festival de Saint Denis

« On est donc loin du jonglage démonstratif, qui ne renvoie qu’à lui-même, même si François Chat sait aussi se montrer excellent jongleur. Qu’il manipule un ou plusieurs objets, en respectant ou non les gures du jonglage traditionnel, François Chat se distingue de ses confrères, qui explorent des voies analogues, par la lenteur de ses mouvements. »
Chroniques de l’AFAA, Jean-Michel Guy

« Une danse espiègle ou songeuse, un théâtre gestuel redessinant l’espace.»
Télérama, Anne Marie Paquette

L’Œuf du vent

« Il trace avec son corps un tableau vivant. »
Libération

« François Chat porte bien son nom et son art. Chacun de ses gestes est rond, langoureux, guidé comme un félin, joueur conformément à l’étymologie du mot jongleur. »
Les saisons de la danse

Seul en scène pendant une heure, torse nu, il pose un univers poétique entre danse et théâtre gestuel parfois hiératique. Une traversée du temps autour de la naissance ... »
Libération

« L’œuf du vent soixante-cinq minutes absolument magiques d’un étrange rituel, François Chat invente des scènes vivantes mime, danse et jonglage se nourrissent de poésie. A découvrir d’urgence. »
L’Express

Wings on Rock

«... on ne soulignera jamais assez la poésie avec laquelle le jongleur et mime François Chat transforme les bandelettes de tissu en autant de marionnettes, d’alter ego à la fois questionnant et enchanteurs...»
Libération

Le regard du jongleur

« François Chat à en lui quelque chose de très particulier dans le rapport à son corps. C’est une sorte de connaissance de soi, de son corps et de ce qu’il peut faire, absolument naturelle et spontanée. Cela n’est pas commun. »
Puck n. 11 , Extrait d’une interview de Bob Wilson

« ... Le jongleur se fait danseur; il ondoie, tournoie, traverse la scène à pas comptes, comme dans ses propres spectacles, il tourbillonne et cherche ralentir la chute des objets en les manipulant avec souplesse. C’est du cirque en latence, en transparence, qui fonde la jubilation du spectateur non sur l’exploit mais sur son envers. Non sur l’acrobatie physique, comme certains artistes d’avant-garde révèrent d’un acteur acrobate, mais sur l’harmonie plastique, comme d’autres artistes d’avant-garde projetèrent un acteur plasticien. »
Art Press, Frédéric Maurin

Autres...

« Extraordinaire jongleur »
Télérama

« Impressionnant jongleur »
Charlie Hebdo

« François Chat has an in-deep knowledge of his body witch makes him an extraordinary performer on stage »
Bob Wilson

« Working with movement and a highly evolved sense of aesthetics, light and design, François Chat has fashioned a unique stage presence and a graceful technique. »
Bob Wilson

François Chat une trajectoire de l’indéfini

Une trajectoire de l’indéfini retranscris une conversation menée sur plusieurs séances entre l’écrivain Marc Moreigne, spécialiste du cirque, et l’artiste François Chat, acteur, danseur-jongleur et metteur en scène. La création, l’aléatoire, le corps, le cœur, la tension, le désir, la mémoire, la prise de risque, entre autres, sont les sujets questionnés et débattus tout au long des 96 pages du livre, avec une grande liberté de parole et d’esprit.

L’ouvrage démarre sur une préface rédigée par le célèbre metteur en scène américain de théâtre Robert Wilson. Le petit livre se distingue par la dizaine de points blancs en relief déposés par marquage à chaud galbé blanc sur le bleu intense de la couverture réalisée sur papier Curious Matter Adiron Blue d’Arjowiggins.
Livre
Auteur : Marc Moreigne
Conversation : Marc Moreigne - François Chat
Préface : Robert Wilson
Graphisme : Anne-Marie Latrémolière